
Quand l'information circule librement, la vie reprend
Et cela dépend de chacun de nous.
Dans l'univers comme dans nos corps et dans nos interactions,
la vie se crée et évolue à partir de l'imprévisibilité qu'apportent
toutes les sources d'énergie différentes de soi.
Cette énergie s'appelle "information". . .
Avant-Propos
Il n'est pas nécessaire d'avoir connaissance de ce qui suit pour participer et
recevoir les bienfaits des séances de Communication ÉlémenTerre.
Cette page annexe à été écrite par souci de transparence sur notre façon de concevoir l'utilité de ces séances.
L'inspiration et la direction fondamentale de ces séances sont axées sur le choix de :
1. Satisfaire tes besoins les plus fondamentaux
2. Dissoudre toutes les formes de violence
Nous avons la conviction que ce qui est réalisable en groupe de quelques personnes, est possible à l'échelle planétaire.
UNE VISION DE L'ORDINAIRE
Les recherches les plus avancées en physique et en bioénergétique soutiennent l'expérience que les plus sensibles de nous font chaque jour ; à savoir que l'information que nous recevons et que nous exprimons (chacun de nous) est le fondement énergétique de ce qui nous permet (ou pas) de vivre ensemble sur cette Terre (et éventuellement de nous soutenir mutuellement).
Les recherches sur les théories de l'information et de la communication nous apprennent, elles, qu'une information claire est l'antidote à toutes les frustrations, qui sont à leur tour les causes de la plupart des troubles et des violences.
On sait aussi que le principe même d'une information est de résoudre les doutes et les confusions.
Mais tout cela ne correspond que bien peu à la vision ordinaire que nous avons de "l'information" . . .
En dehors de l'observation des interactions dites "interpersonnelles", nous avons l'habitude d'appeler "informations" ce qui est exprimé par des entités proprement "impersonnelles" comme par exemple les médias et la publicité.
Habituellement, il s'agit d'un regroupement de "faits" pour lesquels nous n'avons d'une part, exprimé à-priori aucun intérêt et d'autre part, que nous n'avons pas la liberté de questionner directement.
Nous pouvons éventuellement mettre ces "informations" en doute, mais leurs formes ne changeront pas pour autant. Rien ne sera "reformulé" à la lumière de nos questions. En fin de compte, nous ne pouvons guère qu'y réagir d'une manière ou d'une autre, les comparer à d'autres tant bien que mal en espérant s'en faire une idée juste, ou bien simplement les ignorer. Ce sont des "demi-communications".
Le fait est que nous ne pouvons littéralement pas nous "entendre" avec ceux qui les expriment. D'où viennent-elles ? Tombent-elles du ciel comme des grâces divines, ou volent-elles dans le vent comme de malveillantes rumeurs ?
Tenter de s'entendre avec qui que ce soit à leur sujet n'est pas plus aisé - nous avons tous fait l'expérience de chercher à "s'entendre" avec quelqu'un au sujet "d'informations" reçues par les médias . . . Chacun n'exprimant rien qui lui soit propre (mais au contraire des opinions qui lui sont étrangères et qu'il se bat pourtant à défendre), la communication n'existe en fait, pas.
Il faut bien reconnaître que nous ne pouvons pas "recevoir" grand chose d'un "fait" médiatique ou publicitaire. Pourquoi ?
Tout simplement parce que nous ne pouvons pas "communiquer" avec ce type "d'informations". Il n'y a en effet personne qui se tienne là, devant soi, susceptible de recevoir notre curiosité et d'être reçu en retour.
La communication est interrompue ; le mouvement de l'énergie est rompu.
REVENIR À CE QU'ON A
Alors qu'en est-il des informations que nous "recevons" des autres personnes (ou même des animaux et des plantes . . .) ; de ces êtres vivants pleins d'énergie et de conscience : que faisons-nous de "leurs" informations ?
À bien y regarder, la communication interrompue que nous avons avec les "informations" de type médiatique ou publicitaire (les "demi-communications") semble avoir été reproduite comme la façon ordinaire de guider nos interactions avec les autres. Et pas seulement ; il y va aussi de notre communication avec nous-mêmes, et même avec la Terre.
À ne pas donner à l'ensemble de nos interactions toute leur valeur et l'attention qu'elles requièrent, nous nous privons nous-mêmes de ce qui nourrit notre santé, notre conscience et nos richesses.
Nous passons à côté des plus belles créations de la vie, comme si nous interagissions avec les autres et avec notre environnement aux ordres d'un prudent coït interrompu.
_ De quelle manière traitons-nous les informations qui nous parviennent ?
_ De quelle manière traitons-nous les informations que nous émettons ?
_ Et de quoi finalement sont faites ces informations ?
Pour se donner la possibilité de recevoir "la contribution" que chaque information peut être, il y a une "position ordinaire" à lâcher : le centrage sur soi-même.
Faut-il donc se centrer "sur l'autre" ? La réponse est "oui et". . .
Il ne s'agit pas pour autant de "se mettre à la place de l'autre" (ce qui nous ferait à la fois perdre notre place et "prendre" à l'autre la sienne - de quel droit ?).
Il s'agit au contraire d'ouvrir ses propres qualités d'empathie à un espace beaucoup plus grand : un espace dans lequel "je" est inclus totalement, bien que "l'autre" reste au centre.
C'est une différence à la fois subtile et phénoménale. Plus cet espace est grand, plus la présence de chacun se révèle et peut être "nourrie" par ce que l'environnement énergétique contient de conscience et de reconnaissance.
De cette manière, "je" ne s'en tient plus seulement aux formes des informations qui sont "en jeu" (et qui ordinairement nous maintiennent dans une douloureuse réactivité aux émotions, aux sensations et aux points de vue).
"Je" accède ici à l'authenticité des informations et à toute l'énergie qu'elles contiennent. De là il peut recevoir ce qui devient une contribution pour lui, et devenir aussitôt lui-même ce qui contribue à l'autre.
UNE DISTANCE À RÉSOUDRE
Pour avoir la force de progresser et d'évoluer, parfois il est utile de faire un bilan de la situation présente. Le premier avantage qu'on en reçoit est probablement le suivant : du fait de notre intention tirée vers l'avant (vers l'amélioration, vers le futur), nous ne nous résolvons alors pas aux conclusions du "bilan", ni ne nous décourageons de pouvoir mieux faire dès "maintenant".
Si on observe nos comportements sociaux, on peut distinguer 2 tendances que nous avons l'habitude de suivre dans nos interactions avec les autres :
chercher "à quelle distance des autres" se positionner pour se sentir "près de soi-même", ou chercher "à quelle distance de soi-même" se positionner pour se sentir "près des autres". . .
C'est ce qu'on appelle contradictoirement se mettre "en relation" - c'est contradictoire parce que finalement on ne trouve que la distance dans ces "relations". . . une distance entre nous et une distance avec soi-même. Quant à la Terre, on la voit à peine.
_ Qu'est-ce qu'il y manque ?
_ Qu'est-ce qui pourrait créer (ou rétablir) le Contact ?
Dans les conversations habituelles, les informations sont déformées, interprétées, contraintes ou forcées. Non pas que nous soyons en faute ; nous n'avons simplement pas appris à recevoir l'authenticité d'une information. Et c'est de là que nous vient le sentiment de "manquer" de ceci ou de cela : dans quelque domaine d'expérience que ce soit, ce dont nous manquons en vérité, c'est de "l'énergie" des informations que nous ne recevons pas.
Cette énergie peut se manifester de multiples manières, par exemple à travers l'attention que peuvent nous porter les autres, ou la confiance que l'on peut avoir en soi-même, ou la force et le dynamisme dont notre corps est capable, ou encore les richesses matérielles que nous pouvons avoir.
Si à la place de "recevoir" l'information, nous la bloquons, nous l'interprétons, nous y réagissons, ou nous la contraignons, alors le flux de l'information s'arrête. Et si le flux de l'information s'arrête, le mouvement de l'énergie s'arrête. Et si le mouvement de l'énergie s'arrête, la vie s'arrête avec.
Reste encore à savoir en quoi consiste "recevoir une information".
Ce que ce n'est pas en tous cas, c'est la bloquer en nous, dans notre corps ou dans notre esprit, en la laissant déséquilibrer tous les aspects de notre santé à la fois physique et mentale.
L'énergie est faite pour circuler, l'information aussi . . . Et la bonne nouvelle c'est que nous n'avons pas besoin de la "faire circuler", mais bien au contraire de lui "permettre" de circuler . . . au travers de nous. . . et au travers de l'autre.
Avec un peu d'expérience, nous pouvons également "conduire consciemment" son mouvement, pour une contribution encore meilleure, dans laquelle les différentes qualités de chacun peuvent prendre toute leur valeur.
_ Il est utile de faire un point ici sur le fait que si nous suivons l'habitude de ne pas "permettre" à l'information de circuler, alors nous la "conduisons inconsciemment" d'une manière qui défavorise tout le monde, Terre incluse.
Les blocages de l'information dans nos corps par exemple, font partie de cette "conduite inconsciente" de l'information. En ce qui concerne le corps, ces blocages d'énergie sont précisément ce qui le tue. _
Avant donc de pouvoir "conduire consciemment" le mouvement de l'information, il nous faut apprendre à le "permettre", en le reconnaissant et en le suivant.
C'est par là que nous accédons aux contributions que nous sommes véritablement : les uns pour les autres, pour soi-même, et pour la Terre.
Une seule chose est indispensable de notre part : notre Curiosité.
En effet, sans question, l'information meurt.
Pour ensuite recevoir "ce qui est en mouvement" (les richesses qu'il contient), une autre qualité est requise : notre Écoute.
Quand l'information circule librement, la vie reprend.
Quand le mouvement de la vie reprend, l'abondance et l'équilibre se font.
Et paradoxalement, ce sont les choses les moins "ordinaires" qu'il soit !
CE DONT NOUS DISPOSONS
Ce qui nous intéresse ici, c'est d'une part, d'aborder ce domaine particulier de nos capacités relationnelles à partir des ressources dont nous disposons pour les améliorer et d'autre part, de leur donner un équilibre nouveau et durable.
Dans ce "jeu" d'interactions que sont les séances de "Communication ÉlémenTerre", en plus des "Compétences en Présence" (qui constituent le 2ème principe du jeu / voir Règles du Jeu), vous déployez également les qualités de :
. Trois Compétences en Développement,
. Quatre Ressources Fondamentales et
. Trois Environnements.
1. Vos 3 Compétences en Développement
Au cours d'une séance de "Communication ÉlémenTerre", vous apprenez ou entraînez principalement les 3 savoir-faire et savoir-être suivants :
1. La Rhétorique Aisée (l'art du bien-dire, de l'éloquence)
appliquée à la Spontanéité
2. La Présence Joyeuse (à vous-même, à l'autre, et à votre environnement)
appliquée à la conscience
3. L'Energétique Abondante (l'art d'accompagner le vivant et le changement)
appliquée à l'improvisation
2. Vos 4 Ressources Fondamentales
Ce qui permet le "jeu" d'interactions qu'est la "Communication ÉlémenTerre, nous l'appelons la "Communication Guérissante", car vous y ré-équilibrez votre accès à 4 ressources fondamentales et interdépendantes.
Les relations interpersonnelles "ordinaires" génèrent pour chacun un isolement émotionnel, cognitif et énergétique. Cet isolement tient également à distance 4 ressources étroitement interdépendantes et fondamentales à notre vie sur Terre. Ces ressources sont à ce point essentielles, qu'elles tiennent un rôle "climatique" dans notre environnement global :
1. La Solidarité : l'intérêt commun porté à notre interdépendance et tourné vers un mieux-vivre _ (climat social).
2. L'Homéostasie : l'équilibre et la force naturels des systèmes nerveux, immuno-logique et hormonal de votre corps _ (climat physiologique).
3. Le Bien-Être : l'équilibre naturel de votre santé psychologique et mentale _ (climat psychique).
4. La Symbiose : l'équilibre symbiotique de votre rapport sensitif, émotionnel et mental à l'évolution biophysique et climatique globale _ (climat bioénergétique).
3. Vos 3 Environnements
Chacune des 3 Compétences et des 4 Ressources précédentes, influence et interagit avec 3 aspects de notre environnement quotidien :
1. Relationnel : l'environnement généré par la façon dont nous "conduisons" l'information au travers de nos interactions les uns avec les autres (par exemple dans nos conversations).
2. Personnel : l'environnement généré par la façon dont nous "conduisons" l'information à la fois au travers de notre corps (émotions, sensations. . .) et dans nos pensées (croyances, points de vues. . .).
3. Global : l'environnement généré par la façon dont nous "conduisons" l'information au travers de la Terre, (par exemple dans nos choix agro alimentaires).
Qu'allons-nous faire de toutes ces informations ?
Nous allons JOUER avec !


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